
Ouvrages en Francais
LA BOMBE ATOMIQUE, L'IMAM CACHE ET LES AYATOLLAHS
Contrairement aux attentes que la révolution islamique iranienne de 1979 avait suscitées en Occident, elle n’était pas la sublime résurrection de l’Islam dans un monde matérialiste et corrompu, mais bien la victoire d’un shiisme politique qui, depuis 14 siècles, a entaché l’histoire de l’Iran. Les 30 dernières années, revendiquées par les ayatollahs comme « les années du plus pur Islam mahométan », ont été les plus néfastes d’un Islam que Mahomet ne reconnaîtrait certes pas, jalonnées de crimes, injustices, répression, intrigues, corruption et d’interminables luttes de pouvoir.
Ce livre tente de faire mieux connaître au public français la réalité de ce shiisme dit « duodécimain », érigé en système de gouvernance dont la République Islamique d’Iran est l’unique représentante, et qui est aujourd’hui vivement contesté par une jeunesse étrangère à ce système et révoltée.
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Les Principes politiques, philosophiques et religieux.... De l’Ayatollah Khomeiny
L’Iran a été récemment le théâtre d’un des plus formidables bouleversements politiques et sociaux de notre époque. Un nom revient comme un leitmotiv : celui de l’Ayatollah Khomeiny. Il est au cœur des événements. Cette nouvelle « république islamique intégriste » c’est lui. Sa doctrine, ses principes sont devenus des livres, diffusés à des centaines de milliers d’exemplaires en Iran. C’est là que se trouve « la pensée » du nouveau maître du pays.
Mais quelle est-elle ? Pour l’Ayatollah elle est la seule vérité, car d’origine divine Elle a son mot à dire sur tout, elle régit tout : du lever au coucher, en passant par toutes les heures, toutes les activités de la journée. A tous les problèmes quotidiens des fidèles, elle apporte des réponses. Dans le moindre détail. Jusqu’à la plus stricte intimité.
Pour la première fois traduit, voici donc « le petit livre » de l’Ayatollah, composé d’extraits des trois ouvrages majeurs du patriarche iranien.
Un document pour comprendre.
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PRINCIPES, Politiques, Philosophiques, Sociaux et Religieux DE L’AYATOLLAH KHOMEINY
Textes choisis et traduits du persan par Shojaeddin Shafa
Ouvrage paru en espagnol, finlandais, français, néerlandais, portugais, suédois.
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"Ce que la Perse a légué à
l'Espagne médiévale"
Chers amis,
Nous avons le plaisir de vous annoncer la parution, en français, de l'ouvrage que Shojaeddin SHAFA avait concacré à l'héritage de la Perse à l'Espagne.
Il s’adresse à tous les amoureux de la culture iranienne, qu’ils soient Iraniens ou non, à ceux curieux de découvrir ce que nous devons tous à la Perse et dont nous gardons la trace aujourd’hui en Europe occidentale sans même le savoir.
Ce livre est l’ultime témoignage de l’infatigable engagement de Shojaeddin Shafa à transmettre les valeurs civilisatrices de son pays. La période troublée de l’Histoire de l’Iran qui se déroule sous nos yeux nous invite d’autant plus à poursuivre cet engagement, quand le monde prend conscience des enjeux et surtout de la force de ses enfants, porteurs d’un riche passé et d’une culture en perpétuel mouvement, que l’on voudrait bâillonner.
Merci pour l'accueil que vous voudrez bien lui faire.
Cordialement.
Claudine Shafa
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Suite a la parution de ce livre, Madame Claudine Shafa a fait un interview avec Radio France Internationale (R.F.I).
Voici le lien : https://rfi.my/B5Oz
Par : Nenad Tomic
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RFI : Ce livre tente de retrouver l’histoire des hommes et des idées qui cheminèrent de la Perse vers la péninsule Ibérique. À quel moment et par quelle route les Perses y arrivent-ils ? Quel était le contexte historique de ces migrations ?
Claudine Shafa : La conquête de la Perse par les armées arabes en 637 est parachevée seize ans plus tard avec l’annexion de toutes ses provinces – à l’exception du Tabaristan au sud-est de la mer Caspienne – et la mort du dernier roi sassanide, Yazdegard. Le califat de Damas gouverne le pays divisé en plusieurs provinces, avec chacune à leur tête un gouverneur nommé par Damas. Des « liens, plus imposés que volontaires, se tissent entre Persans et Arabes de Mésopotamie ». Ils participeront ensemble à l’invasion de l’Espagne avec des contingents d’autres pays conquis. Le long chemin qui séparait les deux pays était « une route de la soie africaine ». De Shiraz à Jerez, elle passait et passe toujours par ce que nous appelons aujourd’hui l’Égypte, l’Ifriqiyya (Libye et Tunisie), l’Algérie et le Maroc. Avec la conquête de la Tunisie en 702, et la chute en 709 de Tanger et de Septem (Ceuta), derniers bastions byzantins, toute l’Afrique du Nord est pratiquement sous contrôle arabe. L’avancée des armées arabes ayant été ralentie à partir de 670 par de farouches Berbères sous le commandement d’une « passionaria », la Kahina, une « Jeanne d’Arc berbère », le gouverneur d’Afrique du Nord nommé par le calife omeyyade de Damas, ....